“Rien n’est plus à même de libérer d’un seul coup d’un seul notre pensée des chaînes étouffantes des idées reçues  et à l’entraîner tous azimuts qu’une période révolutionnaire. L’histoire réelle, comme la nature créatrice, est bien plus étrange et plus riche dans ses inventions que le pédant qui classifie et systématise tout”. Extrait d’un texte sur le “Dimanche rouge” de 1905 en Russie. Rosa Luxemburg et la Commune ( 15)

Rien n’est plus à même de libérer d’un seul coup d’un seul notre pensée des chaînes étouffantes des idées reçues  et à l’entraîner tous azimuts qu’une période révolutionnaire. L’histoire réelle, comme la nature créatrice, est bien plus étrange et plus Continuer la lecture “Rien n’est plus à même de libérer d’un seul coup d’un seul notre pensée des chaînes étouffantes des idées reçues  et à l’entraîner tous azimuts qu’une période révolutionnaire. L’histoire réelle, comme la nature créatrice, est bien plus étrange et plus riche dans ses inventions que le pédant qui classifie et systématise tout”. Extrait d’un texte sur le “Dimanche rouge” de 1905 en Russie. Rosa Luxemburg et la Commune ( 15)

Qu’auriez-vous dit s’il s’était trouvé en Allemagne, ou en Russie, ou en Angleterre, des socialistes et des révolutionnaires qui, « dans l’intérêt de la paix » auraient défendu l’alliance avec le gouvernement de la Restauration, ou bien avec le gouvernement de Cavaignac, ou encore avec celui de Thiers et de Jules Favre, la couvrant de leur autorité morale ?. Lettre à Jaurès 1908. Rosa Luxemburg et la Commune (13),

“Qu’auriez-vous dit s’il s’était trouvé en Allemagne, ou en Russie, ou en Angleterre, des socialistes et des révolutionnaires qui, « dans l’intérêt de la paix » auraient défendu l’alliance avec le gouvernement de la Restauration, ou bien avec le gouvernement Continuer la lecture Qu’auriez-vous dit s’il s’était trouvé en Allemagne, ou en Russie, ou en Angleterre, des socialistes et des révolutionnaires qui, « dans l’intérêt de la paix » auraient défendu l’alliance avec le gouvernement de la Restauration, ou bien avec le gouvernement de Cavaignac, ou encore avec celui de Thiers et de Jules Favre, la couvrant de leur autorité morale ?. Lettre à Jaurès 1908. Rosa Luxemburg et la Commune (13),